Lors des travaux de la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, l’ONG PDES basé à Genève a fait une déclaration sur « le développement socio-économique du Maroc et son impact à surmonter les crises »
C’est à la réunion de haut niveau commémorant le trente-cinquième anniversaire de la Déclaration sur le droit au développement que le président de l’ONG suisse « Promotion du Développement Economique et Social -PDES » a fait savoir que le droit au développement est un droit inaliénable de l’homme.
« Le droit au développement est un droit inaliénable de l’homme en vertu duquel toute personne humaine et tous les peuples ont le droit de participer et de contribuer à un développement économique, social, culturel et politique dans lequel tous les droits de l’homme et toutes les libertés fondamentales puissent être pleinement réalisées, et de bénéficier de ce développement. » Déclare M. OBBAD président de PDES.
« De ce fait, la réalisation de ce droit est capitale afin de répondre équitablement aux besoins de développement durable et inclusif pour les générations actuelles et futures.
Nous considérons que le Royaume du Maroc, a entamé depuis plusieurs années un plan de développement économique et social national, visant une intégration sociale, culturelle, économique et environnementale sans précédents et de nombreux projets d’envergure ont vu le jour. » Ajout-il
Dans son Rapport de suivi de la situation économique du Maroc du 29 juin 2021, la banque mondiale, distingue Le Maroc comme étant un pays qui a su profiter de la crise du COVID-19 pour en faire une opportunité et lancer un ambitieux programme de réformes transformatrices qui ont perduré même durant le conflit russo-ukrainien. lisons dans la déclaration de PDES.
Après ses premiers efforts pour atténuer les effets immédiats de la pandémie sur les ménages et les entreprises, le Maroc a lancé diverses politiques pour corriger des inégalités de longue date et surmonter certains obstacles structurels qui ont limité par le passé la performance de l’économie du pays.
Ce programme de réformes repose sur les piliers suivants, selon le communiqué de PDES.
- la création d’un Fonds d’investissement stratégique (le Fonds Mohammed VI) pour soutenir le secteur privé.
- la refonte du cadre de protection sociale pour dynamiser le capital humain.
- la restructuration du vaste réseau d’entreprises publiques marocaines.
En outre, le gouvernement marocain a dévoilé les termes d’un nouveau modèle qui met l’accent sur le développement humain et l’équité entre les sexes, tout en redynamisant les efforts récents pour encourager l’entrepreneuriat privé et stimuler la compétitivité.
« En tant que représentants de la société civile, nous saluons positivement les initiatives mises en œuvre par le Maroc pour la garantie du droit au développement de ces citoyennes et citoyens ». Précise le président de PDES.
« Nous espérons enfin que les Pays formant l’Union du Maghreb, suivront l’exemple du Maroc et que la communauté internationale soutiendra activement le Maroc à travers des programmes de coopération et d’aide au développement afin de permettre aux futures générations de vivre ensemble de manière pacifique, durable et dans le respect total des droits humains. » Conclus le président OBBAD.
Rappelons que le Conseil des droits de l’homme organise au moins trois sessions ordinaires par an pour au moins dix semaines au total. Elles ont lieu entre février et mars, entre juin et juillet, et entre septembre et octobre. Ces sessions peuvent durer trois, quatre ou cinq semaines, selon le programme de travail.
Source: EUBriefs.com